, Quand sonne l’heure de l’été
, Quand tous mes proches s’en vont
, Telles des feuils qu’emporte le vent
. Seul dans mon beau jardin sacré
Je me repose sous l’ombre du palmier
, Attiré par la verdure des champs
Mes yeux décident de se promener
. A travers les bois dormants
Là bas, une jolie fée apparaît
Fraîche comme la braise de l’été
Charmante comme un ange souriant
Je revois les souvenirs du passé
Durant un long moment
Je revois ma mère en train de chanter
Des mélodies du beau vieux temps
Tout en caressant mes cheveux bouclés
, Émerveillé par ce beau chant
Mes larmes tombent sur la terre assoiffée
, Pendant quelques moments
; Je reste sans voix, sans idées
, Sous les rayons du soleil ensorcelant
. Je sens mon corps transir et brûler
, Au milieu du ciel grisant
, La belle figure disparaît
Vers d’autres lieux , laissant
Derrière elle, des odeurs parfumées
Qui me transportent vers des lieux charmants
Désirés par ceux qui n’ont rien à prouver
: Ceux qui n’ont qu’un message à passer
Aimer vous les uns les autres, soyez "
, Solidaires, bons croyants
" Car demain, vous n’aurez rien à partager